Pour un autre serveur on avait créé une garde Royale, Meshu l'organisait, et moi je lui ecrivait son RP. Hop je vous le met ici pour ceux qu'aime lire^^
Ca fait partie de nos aventures passées apres tout
- Lieutenant Coriace, vos faits d’armes sont nombreux, vos recommandations élogieuses, vous avez mené campagne pour votre roi dans bien des contrés et avez su repousser les hordes du sombre à maintes reprises. Ainsi, par votre bravoure votre dévouement et votre fidélité vous avez su vous montrer digne de votre Roi.
Aujourd’hui je vous nomme Capitaine. Mais avec ce grade viennent de nouvelles responsabilités. Vous avez probablement entendu parler de ces hors la loi dont le nombre gonfle ces derniers temps, nos shérifs ne comptent plus le nombre de plaintes pour vols, truandages, meurtres et autre méfaits. Il semblerait qu’un groupe d’individu soit particulièrement actif et tente de corrompre les plus faibles de nos sujets pour les emmener vers la délinquance et les débauches de toutes sortes.
Du haut de son trône, satisfait de son début d’élocution, Le Roi s’adressait a celui que beaucoup disait être le meilleur guerrier que la race des homme ait portée. Il s’arrêta un instant et pris la mesure de l’être qu’il avait devant lui.
Coriace avait l’allure d’un vieux briscard, couvert de cicatrice, de taille imposante, portant l’armure avec aise. Cependant, durant toute la première partie de sa vie, il avait été ce que l’on appel un vagabond, toujours respectueux des lois mais indépendant et solitaire. Taciturne, asocial et absolument indifférents aux peines de ses semblables. N’ayant connu ni père ni mère, il se format aux armes par le contact des hommes de guerre de diverse natures qui croisaient son chemin. En effet les arts militaires avaient toujours été le seul sujet provocant en lui une étincelle de passion. Mais son indiscipline et son refus de toute forme d’autorité le teint éloigné du métier des armes. Il survécu aux bandits, aux bêtes de toute sorte et a bien d’autres dangers. Maintes fois il aurait pu ou dû perdre la vie, mais sa foi en lui, sa hargne, pour ne pas dire sa haine, et ce qu’il appelait lui-même « La chance insolente que chaque homme doit apprendre à se créer » lui permis de surmonter les blessures les plus dures et d’éviter les pièges les plus sournois. Il apprit une chose dans cette constante lutte pour la pitance et le droit de vivre, c’est que les humains avaient pour pire ennemis leur propre race. Trop de trahisons, trop de mensonges et d’allégeances rompues. Respect des anciens bafoué et division, voila ce qui minait la race humaine. Et il ne fallait pas chercher ailleurs les raisons pour lesquels le monde des hommes était en constante proie à l’incertitude et aux peurs les plus diverses. Peur du mécréant peur des autres races, peur de mourir et peur du noir. « Foutaise que la peur ! C’est une information la peur ! Et elle est à traiter comme telle, pour mieux abattre ce qui n’est qu’un obstacle ! Celui qui recul trouvera ma lame ! » C’est ainsi que le Lieutenant Coriace haranguait ses troupes avant les rencontres avec l’ennemi. En effet Coriace avait fini par rentrer dans les troupes de Gludio. Un jour où il gisait au pied d’un arbre, un orc mort à ses pieds mais lui ayant laissé un bras cassé et plusieurs cotes enfoncées un sergent de la garde avait croisé son chemin.
- Toi mon vieux m’ais avis qu’quand tu rigole ca t’fait mal !
- Grmpf.. Fut la seul réponse que Coriace donna.
- Il est mort ton orc, -Il souleva la carcasse- et il est bien mort avec ca. Ca pu l’orc mort a cent pieds à la ronde!
- Shmorf..
- Je suis d’accord avec toi, faudrait pas laisser ca la, ca risquerait d’apeurer les écureuils. Je suis le Sergent Mashpouarflok, et il ne sera pas dit que Mashpouarflok laissa un brave guerrier blessé sur le bord du chemin. Mais attention, si je m’aperçois que tu te trouve être un bandit, le Sergent Mashpouarflok te montrera le gibet !
- Grmpf..J’suis Coriace, et non je ne détrousse pas les voyageurs. Cet orc voulait manger de l’homme, il a mangé du bon acier de Gludio. Mais je dois dire que son coup de masse m’a coupé un peu les jambes. Je ne dirais pas non à un peu d’aide.
Et ainsi Coriace fit connaissance d’un sergent de la garde Gludienne, la bonne camaraderie de ce dernier et le manque de but dans la vie de Coriace finit par conduire ce dernier à accepter le principe d’avoir un supérieur a qui obéir, et à joindre les rangs des forces armées. Voici maintenant 12 ans qu’il arpentait Aden et ses nombreux combats lui permirent de conquérir le grade de Lieutenant. Aujourd’hui le Roi d’Aden le convoquait et il se trouvait promu Capitaine.
Il se contenta d’opiner au discours du roi et d’attendre la suite.
- Capitaine Coriace je compte vous prendre à mon service, nous avons créé la Garde Royale afin de mettre fin à cette résurgence de criminalité dans notre bon royaume. Vous aurez sous vos ordres des troupes d’élites dans le but de traquer les criminels. De plus vous organiserez la mise à prix des têtes des mécréants afin d’encourager le peuple à vous aider dans votre mission. Le Trésor Royal fournira les primes. Vos derniers combats contre ces alliances, pour le moment ponctuelles, d’elfes noirs et d’orcs ont été victorieux et vos exploits sont remontés jusqu'à moi. Je vous offre donc aujourd’hui la possibilité d’intensifier votre combat pour faire respecter la loi et l’ordre au nom de votre Roi.
- Grmpf..
- Plait-il ?
Coriace, sembla réfléchir un instant, un silence embarrassant pour la cour se fit sentir. On commençait à murmurer quand la voix sèche et forte du Capitaine se fit entendre, ramenant le silence du même coup.
- Merci Sire. J’accepte cette mission et je vous remercie pour la confiance que vous avez en moi. Je saurai juguler le crime sur vos terres.
- Fort bien. Vous pouvez vous retirer Capitaine, je vous laisse choisir parmi nos meilleurs hommes ceux que vous estimerez digne de vous assister. J’ai dit.
- Shmorf..
- Pardon ?
- Merci majesté.
- A bientôt Capitaine.
Et le peu loquace Capitaine Coriace pris la tête des Gardes Royaux.
Arrivera-t-il à arrêter les Hors La Loi sévissant sur Aden ?
Qu’est-il advenu du Sergent Mashpouarflok ?
Qu’entendait-il exactement par « Shmorf » ?
Seul l’avenir nous le dira.
(Texte de Karma Lys)
Ca fait partie de nos aventures passées apres tout
- Lieutenant Coriace, vos faits d’armes sont nombreux, vos recommandations élogieuses, vous avez mené campagne pour votre roi dans bien des contrés et avez su repousser les hordes du sombre à maintes reprises. Ainsi, par votre bravoure votre dévouement et votre fidélité vous avez su vous montrer digne de votre Roi.
Aujourd’hui je vous nomme Capitaine. Mais avec ce grade viennent de nouvelles responsabilités. Vous avez probablement entendu parler de ces hors la loi dont le nombre gonfle ces derniers temps, nos shérifs ne comptent plus le nombre de plaintes pour vols, truandages, meurtres et autre méfaits. Il semblerait qu’un groupe d’individu soit particulièrement actif et tente de corrompre les plus faibles de nos sujets pour les emmener vers la délinquance et les débauches de toutes sortes.
Du haut de son trône, satisfait de son début d’élocution, Le Roi s’adressait a celui que beaucoup disait être le meilleur guerrier que la race des homme ait portée. Il s’arrêta un instant et pris la mesure de l’être qu’il avait devant lui.
Coriace avait l’allure d’un vieux briscard, couvert de cicatrice, de taille imposante, portant l’armure avec aise. Cependant, durant toute la première partie de sa vie, il avait été ce que l’on appel un vagabond, toujours respectueux des lois mais indépendant et solitaire. Taciturne, asocial et absolument indifférents aux peines de ses semblables. N’ayant connu ni père ni mère, il se format aux armes par le contact des hommes de guerre de diverse natures qui croisaient son chemin. En effet les arts militaires avaient toujours été le seul sujet provocant en lui une étincelle de passion. Mais son indiscipline et son refus de toute forme d’autorité le teint éloigné du métier des armes. Il survécu aux bandits, aux bêtes de toute sorte et a bien d’autres dangers. Maintes fois il aurait pu ou dû perdre la vie, mais sa foi en lui, sa hargne, pour ne pas dire sa haine, et ce qu’il appelait lui-même « La chance insolente que chaque homme doit apprendre à se créer » lui permis de surmonter les blessures les plus dures et d’éviter les pièges les plus sournois. Il apprit une chose dans cette constante lutte pour la pitance et le droit de vivre, c’est que les humains avaient pour pire ennemis leur propre race. Trop de trahisons, trop de mensonges et d’allégeances rompues. Respect des anciens bafoué et division, voila ce qui minait la race humaine. Et il ne fallait pas chercher ailleurs les raisons pour lesquels le monde des hommes était en constante proie à l’incertitude et aux peurs les plus diverses. Peur du mécréant peur des autres races, peur de mourir et peur du noir. « Foutaise que la peur ! C’est une information la peur ! Et elle est à traiter comme telle, pour mieux abattre ce qui n’est qu’un obstacle ! Celui qui recul trouvera ma lame ! » C’est ainsi que le Lieutenant Coriace haranguait ses troupes avant les rencontres avec l’ennemi. En effet Coriace avait fini par rentrer dans les troupes de Gludio. Un jour où il gisait au pied d’un arbre, un orc mort à ses pieds mais lui ayant laissé un bras cassé et plusieurs cotes enfoncées un sergent de la garde avait croisé son chemin.
- Toi mon vieux m’ais avis qu’quand tu rigole ca t’fait mal !
- Grmpf.. Fut la seul réponse que Coriace donna.
- Il est mort ton orc, -Il souleva la carcasse- et il est bien mort avec ca. Ca pu l’orc mort a cent pieds à la ronde!
- Shmorf..
- Je suis d’accord avec toi, faudrait pas laisser ca la, ca risquerait d’apeurer les écureuils. Je suis le Sergent Mashpouarflok, et il ne sera pas dit que Mashpouarflok laissa un brave guerrier blessé sur le bord du chemin. Mais attention, si je m’aperçois que tu te trouve être un bandit, le Sergent Mashpouarflok te montrera le gibet !
- Grmpf..J’suis Coriace, et non je ne détrousse pas les voyageurs. Cet orc voulait manger de l’homme, il a mangé du bon acier de Gludio. Mais je dois dire que son coup de masse m’a coupé un peu les jambes. Je ne dirais pas non à un peu d’aide.
Et ainsi Coriace fit connaissance d’un sergent de la garde Gludienne, la bonne camaraderie de ce dernier et le manque de but dans la vie de Coriace finit par conduire ce dernier à accepter le principe d’avoir un supérieur a qui obéir, et à joindre les rangs des forces armées. Voici maintenant 12 ans qu’il arpentait Aden et ses nombreux combats lui permirent de conquérir le grade de Lieutenant. Aujourd’hui le Roi d’Aden le convoquait et il se trouvait promu Capitaine.
Il se contenta d’opiner au discours du roi et d’attendre la suite.
- Capitaine Coriace je compte vous prendre à mon service, nous avons créé la Garde Royale afin de mettre fin à cette résurgence de criminalité dans notre bon royaume. Vous aurez sous vos ordres des troupes d’élites dans le but de traquer les criminels. De plus vous organiserez la mise à prix des têtes des mécréants afin d’encourager le peuple à vous aider dans votre mission. Le Trésor Royal fournira les primes. Vos derniers combats contre ces alliances, pour le moment ponctuelles, d’elfes noirs et d’orcs ont été victorieux et vos exploits sont remontés jusqu'à moi. Je vous offre donc aujourd’hui la possibilité d’intensifier votre combat pour faire respecter la loi et l’ordre au nom de votre Roi.
- Grmpf..
- Plait-il ?
Coriace, sembla réfléchir un instant, un silence embarrassant pour la cour se fit sentir. On commençait à murmurer quand la voix sèche et forte du Capitaine se fit entendre, ramenant le silence du même coup.
- Merci Sire. J’accepte cette mission et je vous remercie pour la confiance que vous avez en moi. Je saurai juguler le crime sur vos terres.
- Fort bien. Vous pouvez vous retirer Capitaine, je vous laisse choisir parmi nos meilleurs hommes ceux que vous estimerez digne de vous assister. J’ai dit.
- Shmorf..
- Pardon ?
- Merci majesté.
- A bientôt Capitaine.
Et le peu loquace Capitaine Coriace pris la tête des Gardes Royaux.
Arrivera-t-il à arrêter les Hors La Loi sévissant sur Aden ?
Qu’est-il advenu du Sergent Mashpouarflok ?
Qu’entendait-il exactement par « Shmorf » ?
Seul l’avenir nous le dira.
(Texte de Karma Lys)
Dernière édition par le Dim 16 Sep - 17:17, édité 1 fois